Eurenco, la répression anti CGT continue!

La communication chez Eurenco a pris de la place dans notre entreprise et notamment dans la presse et sur les réseaux sociaux. Evidemment cette communication ne reflète pas forcément la réalité des salariés sur le terrain, ainsi communiquer pour communiquer n'est que "coup de com"
La cgt eurenco a alerté plusieurs fois la direction générale sur les problèmes récurrents qui pénalisent fortement les activités du site de  Sorgues.
La direction, elle, au lieu d'investir dans le dialogue social, a décidé depuis 2019 d'investir dans la répression syndicale.
La demande d’autorisation de licenciement de notre camarade Alain Bottgen, élu CSE et militant CGT Eurenco, formulée par la direction, a été refusée par l’inspection du travail le 30 mars.

Mais la direction ne le supporte pas.
Ainsi , même si la Direction a décidé de ne pas contester cette décision, elle convoque de nouveau notre camarade Alain a un entretien préalable à sanction disciplinaire lundi 31 mai à 16H00.
Depuis juin 2019 et les dernières élections professionnelles qui ont positionné la CGT Eurenco comme première organisation syndicale, que ce soit à Bergerac ou à Sorgues, la répression antisyndicale continue et s’accentue.

Ce harcèlement doit s’arrêter.
Les militants syndicaux ne sont pas des voyous, ils ne doivent pas être traités comme des criminels, ils défendent les emplois, les salaires, les conditions de travail, les garanties collectives, les droits des salariés, ils luttent tout simplement contre toute forme d’exploitation, et particulièrement dans cette période de crise sanitaire !
Au lieu de s’acharner avec un esprit revanchard, il est plus que temps que la direction d’Eurenco cesse ses pratiques anti-syndicales et de harcèlement à l’encontre des représentants du personnel, respecte le droit du travail, et s’inscrive dans des relations sociales responsables.