/image%2F1492524%2F20220212%2Fob_425d80_capture-d-e-cran-2022-02-12-a-06.png)
Au lendemain de chaque meeting du candidat communiste à l’élection présidentielle, Fabien Roussel, après chacune de ses interventions médiatiques, une phrase revient comme un leitmotiv : « Il se passe quelque chose ». C’était vrai place Stalingrad à Paris, à Marseille dimanche dernier, dans les commentaires de la presse, mercredi et jeudi en Corse.
Inconnu du grand public il y a deux mois, le « Ch’ti » trace avec succès le chemin, celui que lui ont confié ses camarades. En parlant vrai des réelles préoccupations des Français, en choisissant « la gauche du plaisir », celle de l’espoir et des « jours heureux », coller aux aspirations populaires ne lui demande aucun effort. Pour une simple raison : il sait d’où il vient, il sait où il va.
En Corse, il a fait, comme on dit, « un tabac ». À l’écoute, dans l’échange et les solutions marquées par la justice sociale et le respect de l’autre. Avec toujours, en toile de fond, non pas son dépassement mais la lutte résolue contre le capitalisme.
En quittant mercredi soir le Palais des congrès d’Ajaccio archi plein, en écoutant les réactions des participants, je me suis dit : « La décision des communistes de partir au combat avec leurs valeurs et leurs propositions était vraiment la bonne décision.»
José Fort
------------------------------