Chez ces gens-là,

D'abord y a Macron
Qu'aimerait bien avoir l'air
Mais qui n'a que la chanson
Qui ment comme il respire
Puis y a le grand Edouard
Qui fait le grand écart
Écrase le populo
Pour les riches, les cadeaux
Et dans son cadre d'enfer
Il y a Castaner
Ce joueur de poker
Pour mater les colères
Enfin après Buzyn
Il y a le Veran
Qui sonne le tocsin
Le virus se répand
Pour finir Bruno, Gérald, Muriel
Et tous les autres
Car chez ces gens-là, Monsieur,
On triche, on compte,
On vous dit rien
Ou bien n'importe quoi
Et puis, et puis...
Il y a nous, beaux, lumineux,
Prêts à se rassembler
Pour construire un autre monde
Poings levés, derrière notre drapeau
LES JOURS D'APRES.
adaptation approximative du Grand JACQUES
Patrick MARTIN (texte et sculpture)